La Maison d'Asie Centrale

Concert de musique ouzbèke à l'ambassade à Paris le 25 février 2010

La Délégation permanente de la République d’Ouzbékistan auprès de l’UNESCO, L’Ambassade de la République d’Ouzbékistan en France

et

La Maison d’Asie Centrale

Vous

prient de leur faire l’honneur d’assister

le lundi 25 janvier 2010 à 19h00

à l'Ambassade d'Ouzbékistan (*)

à un concert de musique traditionnelle ouzbèke avec :

Mamur Zilolov : tar

Jamol Avezov : violon, qijak

Shuhrat Kholkhodjaev : tanbur, sato

Le concert sera précédé d’une présentation sur le potentiel touristique de l’Ouzbékistan.

Cette manifestation sera suivie par un cocktail dînatoire

Confirmation

par fax: 01 53 30 03 54

ou par e-mail: [email protected]

(*) Adresse: 22, rue d’Aguesseau 75008 Paris

Carton-rÉponse

   M/Mme___________________________________________________

(à completer lisiblement)

   Institution _________________________________________________

   Fonction __________________________________________________

□ assistera     □ n’assistera pas

accompagné(e) de____ personnes

    

à la manifestation le 25 janvier 2010

 

 

Musique chitrali au théâtre de la Ville - 29 et 30 mai aux Abesses à Paris

La Baraka, cette force spirituelle qui se dégage des prières chantées, ou maddoh du Badakhshan tadjik, va de nouveau envahir la place du Châtelet.
Cette fois-ci, elle sera accompagnée, pour la première fois dans l'histoire du Pakistan, par des musiciens de la province du Chitral. Dans cette région située à plus de 4000 m d’altitude, inaccessible pendant une grande partie de l’année, les Chitrali ont su perpétuer une longue tradition de musique dévotionnelle. À cette occasion, les répertoires musicaux tadjiks et afghans du Badakhshan vont réemprunter l’ancienne route de la soie suspendue entre les sommets du Pamir et les cols acérés de l’Hindu Kush. Le célèbre chanteur tadjik Aqnazar Alovatov et le virtuose joueur de ghijhak afghan Door Mohammad Keshmi ouvriront la voie au setar du Chitral, vigoureusement supporté par la cordée pamiri composée des luths rubâb et tanbur, ainsi que les rythmes ponctués du daf et du zirbaghali. Une rencontre inédite à ne pas manquer.

Jérôme Louis

Toutes les informations : http://www.theatredelaville-paris.com/spectacle-musiques-du-toit-du-monde-198

Musique d'Iran - 8 mai à 17h00 au théâtre de la ville

Alireza Ghorbani chant
Sohrab Pournazeri kamantché

Iran

Un concert phare qui mettra en lumière la voix d’un des meilleurs interprètes de la nouvelle génération du chant persan, Alireza Ghorbani, accompagné par l’une des figures montantes de la vièle kamantché, le jeune kurde Sohrab Pournazeri.
Initié très tôt aux incantations du Coran au sein d’une famille religieuse, puis formé au târ et setâr au conservatoire de Téhéran, Alireza Ghorbani peut aujourd’hui, sans prétention, rêver de succéder à son modèle, Mohammad Reza Shadjarian. Il en partage toutes les qualités vocales : une technique sans faille dans le répertoire classique et ses subtils ornements comme les tahrir, ces éclatants « coups de glotte » ; une déferlante d’émotion vive qui touche au mysticisme dans ses arcanes universels. Son album Calligraphies vocales, paru chez Accords Croisés, avec Dariush Tala’i au târ et setâr et Djamchid Chemirani au zarb, témoigne de la confiance que lui réservent ces maîtres incontestés de la tradition persane. Le gage d’un voyage au sommet de la poésie musicale !

Jacqueline Magnier

Toutes les informations : http://www.theatredelaville-paris.com/spectacle-a-ghorbani--s-pournazeri-141

Sur la route de Gengis Khan - du 6 au 7 février, théâtre de la Ville Paris

5 musiciens, chant long et chant diphonique.

Le Théâtre de la Ville poursuit son chemin de la Mongolie à la Chine, sur les routes mongoles des grands Khan, entre désert de Gobi au sud et montagnes de l’Altaï à l’ouest. Dans ce pays trois fois plus grand que la France, la transmission orale des traditions reste forte et les interprètes nombreux. La voix occupe une place centrale, tant par la multitude des techniques que par la richesse et la variété des répertoires. Selon les ethnies, les spécialités diffèrent et si l’on attribue volontiers la pratique des chants diphoniques xöömij à la région de l’Altaï, les chants longs, urtiin duu, viendraient du désert de Gobi. Entre vallées, massifs, rivières et lacs, s’étendent les steppes dans lesquelles les nomades se déplacent depuis toujours au rythme des troupeaux et des saisons. Ces paysages et ce mode de vie, au plus proche de la nature, ont influencé la création d’une musique qui témoigne de l’histoire de tout un peuple autrefois unifié sous le plus grand empire que le monde ait jamais connu.

Johanni Curtet

Toutes les informations : http://www.theatredelaville-paris.com/spectacle-gengis-khan-164

Chants et musiques du Sind et du Baloutchistan - 30 janvier, 17h00 Paris

Sind et Baloutchistan! Avec une belle constance pionnière, le Théâtre de la Ville nous propose cette année un nouveau programme musical touchant l’âme des deux provinces méridionales d’un Pakistan trop méconnu au réel.
Au creuset de mille et une empreintes, indiennes et iraniennes d’abord mais aussi arabes, africaines et issues d’Asie centrale, ces deux immensités désertiques savent en effet être des plus fertiles, ayant développé des identités singulièrement fortes qu’elles vivifient constamment. La diversité musicale des deux contrées y est ainsi stupéfiante, des chants soufis du Sind mettant en émoi les âmes les plus endurcies, aux poésies épiques des bardes baloutches appuyées de la vièle mythique sorud, via les complaintes amoureuses des poèmes sindhis égrenés à la double flûte alghoza et les chroniques de ménestrels contées avec le luth tanburag baloutche.
Ce concert, alliant deux traditions voisines aux multiples saveurs, sera une magnifique opportunité de rencontre musicale entre des univers fastes… qui n’ont pas fini de charmer nos sens.

Pierre-Alain Baud

Toutes les informations : http://www.theatredelaville-paris.com/spectacle-sind-et-baloutchistan-118

Ouïgours : De Guantanamo à Palau

http://www.arte.tv/fr/ARTE-Reportage/2991034,CmC=2991036.html

Notes vagabondes à Fougères le 30 janvier 2010

Notes Vagabondes à Fougères le 30 Janvier.

Par raoul raoul, samedi 16 janvier 2010 à 12:56 ::

Notes Vagabondes :: #6 :: rss

Du 16 Janvier au 23 Février, la Médiathèque de Fougères, accueille des concerts et des conférences en lien avec l'Asie centrale.

Durant toute cette période, il y a également une exposition de photos (musiciens d'Asie centrale, portraits et paysages du Pamir...), une exposition d'instruments de musique prêtés par la maison des culture du monde ainsi qu'une exposition de livres anciens (récits de voyages du début 18ème siècle).

Pour l'occasion, la médiathèque a fait l'acquisition de nombreux livres, cd et dvd. Plus d'une centaine de titres.

30 Janvier à 15h00 : Concert-vidéo Notes Vagabondes. Ce film présente des musiciens d'Asie centrale (Tadjikistan, Kirghizistan) , filmés lors de mon voyage. Je dialogue en direct avec ces artistes, jouant au piano et à la clarinette. Il s'instaure ainsi un dialogue nos cultures et nos musiques... ENTREE LIBRE

6 Février à 15h00 : Conférence sur les musiques, chants et danses d'Asie centrale, par une éthnomusicologue de la maison des cultures du monde (en lien avec le festival de l'Imaginaire). ENTREE LIBRE

En savoir plus :

http://notesvagabondes.free.fr/blob/dotclear.1/index.php?2010/01/16/6-notes-vagabondes-a-fougeres-le-30-janvier

Islam sur France 2 à Samarkand, Khiva, Boukhara

Islam

Emission religieuse

 DIMANCHE 17 JANVIER 2010 / 8H45   Voir dans la grille  

 

ESSENTIEL	VOS AVIS	FICHE DÉTAILLÉE

RÉSUMÉ

Samarkand, Boukhara, Khiva ont illuminé le parcours d'illustres voyageurs, tel Marco Polo, sur la route de la soie. Les cités bénies, au passé glorieux, sont parmi les plus beaux joyaux de la civilisation musulmane et de l'Ouzbékistan.

Danses traditionnelles de Mongolie

Vendredi 15 et samedi 16 janvier à 20h30

Danse

Boerte
Danses traditionnelles de Mongolie
Avec Doyodsuren Tumursaikhan (danse), Sharkhuu Enkh-Oyun (danse), Munkh-Erdene Chuluunbat (yatga), Ganpurev Dagvan (ikh khuur, morin khuur, khuumi), Badam Bolor (morin khuur)
En coproduction avec la Maison de la Mongolie

 Créé par Munkh-Erdene Chuluunbat et Ganpurev Dagvan, l’ensemble Boerte (du nom de la fiancée de Gengis Khan) est devenu célèbre par ses compositions de musique de films tels L’histoire du chameau qui pleure ou Le chien jaune de Mongolie (prix de la meilleure musique de film au Festival de New York).
Autour du duo, la formation s’est rapidement étoffée, incluant souvent de nouveaux musiciens et, pour ce spectacle exceptionnel, deux virtuoses des danses mongoles.
C’est au son du chant diphonique, du yatga (la cithare traditionnelle mongole), du morin khuur (la vièle à tête de cheval) et de l’ikh khuur (la contrebasse de Mongolie), que les danseurs évolueront, dans un univers mélodique évoquant les traditions du peuple mongol. En Mongolie, les danses traditionnelles s’inspirent de la vie quotidienne des nomades dans la steppe ou sur les hauts plateaux. Elles sont principalement issues des gestes effectués lors du travail de la terre, des peaux et des boyaux, de l’exercice du tir à l’arc ou encore du dressage des chevaux. Au-delà des principaux mouvements distinctifs de la danse mongole appelés « biyelgee » (mouvements d’épaule et rotation des poignets) et « tatlaga » (mouvement rapide de tirée avec les bras), la danse mongole se caractérise par une représentation littérale, succession de scènes qui révèlent le caractère ou l’humeur du personnage, toujours en relation avec les forces de la nature. Un moment rare pour retrouver le parfum des steppes et l’air pur des monts Altaï.

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TARIFS :

 16 € et 10 €
 tarif réduit (10 €) pour les membres de la SAMG, les chômeurs et les moins de 26 ans

 

Renseignements et réservations

Auditorium du musée national des arts asiatiques Guimet
6, place d’Iéna,
75116 Paris

tél :            01 40 73 88 18    
fax : 01 47 20 46 88
courriel : [email protected]

 

Toutes les informations ici : http://www.guimet.fr/Spectacles,813

Juillet 2010 : à cheval dans le corridor de Wakhan

Téléchargement Wakhanwanderers2[1]

Plus d'informations :

Helene Beley

France: +33 (0) 659 77 31 43 (jusqu'au 23 janvier 2010)

Afghanistan: + 93 (0) 795 59 02 06 (A partir du 26 janvier 2010)

http://www.untamedborders.com/

Spectacle conte et musique pour adultes et ados sur le thème du CHAMANE SIBERIEN.

Spectacle conte et musique pour adultes et ados sur le thème du CHAMANE SIBERIEN.

Création contes & musique sur un motif sibérien de Yakoutie

Jadis, au coeur d’un rude l’hiver comme il y en a en lointaine Sibérie, le corbeau apporta un allume-feu à une jeune femme solitaire qui allait accoucher et se mourait de froid. La jeune femme put faire un feu, elle se réchauffa et rentra chez elle. L’enfant de cette femme fut désignée comme l’ancêtre des Iakoutes, qui, depuis ce jour, remercient le corbeau en le nourrissant à travers le feu.
Aujourd’hui, quand le corbeau s'installe sur la dernière branche et se met à croasser, c’est pour conter les vastes étendues, les larges plaines et les mystères de sous la terre, les hivers longs, les courses de chevaux sous la vibration des guimbardes. Il raconte le roulement des tambours qui prennent soin des hommes, le chamane, sa naissance, ses sagesses.

Le Dit du Corbeau est un chant d’alternance, le point où la parole commence.

Le RECIT de Lania est accompagné de Cyprien au CHANT DIPHONIQUE & GUIMBARDE.

Dimanche 23 janvier au Relais de Belleville
7 rue constant Berthaut 75020 paris

à 16h pour les enfants et leurs parents – 1h de spectacle suivi d’un goûter, 6 €
à 18h pour les adultes – 1h20 de spectacle suivi d’un dîner-buffet – 9 €
Boissons en sus au bar du café.

Billets limités et réservation obligatoire dès maintenant, appeler le 06.07.62.93.77, ou écrire à [email protected], tarif dégressif si vous venez accompagné(e), n’hésitez pas à vous renseigner !

Une idée originale de Emilie Maj
Production : la Maison Européenne des Imaginaires

voir également : http://eurimaginaires.canalblog.com
sur facebook : http://www.facebook.com/inbox/?ref=mb#/event.php?eid=235181843938&ref=mf

Iran : un hommage au peuple baloutche

Par Brigitte Colette & Stéphane Dudoignon
Le jeudi 7 janvier 2010 à 20 heures 30

C'est à la Fiap : 30 rue Cabanisà Paris dans le 14e arrondissement.

Toutes les informations ici : http://www.transboreal.fr/conferences.php?refconf=242

Projet Ouzbek

 

PROJET OUZBEK

Rodoplphe Burger et Yves Dormoy

samedi 23 janvier > 20h30

Yves Dormoy et Rodolphe Burger sont de « vieux » complices, des musiciens, chercheurs, savants.

Leur projet « Planetarium » va ouvrir les portes « du projet Ouzbek », ils nous invitent à une ballade entre le rock, le jazz, la musique traditionnelle et l’aventure humaine. Le projet Ouzbek est un immense collage musical, colorié, doux et nerveux, une promenade dans les plaines d’Asie centrale où chaque note nous mène par la main vers un voyage musical intègre et respectueux de musiciens magiques au naturel flamboyant.

Rodolphe Burger est compositeur, guitariste, chanteur et fondateur du groupe rock : Kat Onoma. Il collabore volontiers avec Alain Bashung, Jacques Higelin, l’écrivain Olivier Cadiot, la comédienne Jeanne Balibar, et accompagne toujours avec son jeu unique de guitare.

Les musiciens ouzbeks représentent le shashmaqom, tradition musicale qui mélange de musique vocale et instrumentale, d’idiomes mélodiques et rythmiques, de poésie

Yves Dormoy est compositeur, saxophoniste, clarinettiste, arrangeur électronique et un aventurier musical.

Cast

Yves Dormoy programmation, saxophones, clarinettes

Rodolphe Burger chant, guitare, sampler

Alim Khodjaev doïra

Shuhrat Kholkhodjaev tambur, sato

Mamur Zilolov tar

Jamaliddin Avezov violon

D'autres dates :

15 janvier : la Passerelle / Saint Brieuc
16 janvier : Maison de la Culture / Bourges
19 janvier : le Volcan / le Havre
23 janvier : Espace 1789 / Saint Ouen
28 janvier : le Train Théâtre / Porte-les-Valences
29 janvier : Centre Culturel Lebournot / Aubenas
5 février : le Channel / Calais
6 février : Agora / Evry-sur Seine

Parution de Nuit, un roman de Tchulpan

J'ai le grand plaisir de vous faire part de la parution de :

 

'Abd al-Hamid Sulaymân, dit Tchulpân

Nuit

roman (1936) traduit de l'ouzbek par Stéphane A. Dudoignon

Saint-Pourçain-sur-Sioule : Bleu autour, décembre 2009, 456 p.

 

 

Résumé :

 

C’est à la faveur de l’implosion de l’URSS qu’a été redécouvert ce chef-d’œuvre des littératures d’Asie centrale, dont Stéphane A. Dudoignon, chercheur au CNRS, donne ici la première traduction dans une langue occidentale.

Par le truchement d’une fiction à re­bon­­dissements, bâtie sur une intrigue de ha­rem, l’auteur, ‘Abd al-Hamid Su­laymân, dit Tchul­pân (vers 1897-1938), l’une des figures du mouvement moderniste musulman d'Asie Centrale, dresse un tableau cinématographique du Turkestan en proie à la colonisation russe à la veille de la soviétisation.

À sa parution en 1936, ce grand roman populaire est perçu comme une critique virulente du stalinisme. Accusé de « nationalisme bourgeois », Tchulpân sera rapidement arrêté, déporté dans un camp du goulag, condamné à la peine capitale pour « activités contre-révolutionnaires » et exécuté.

« Cette toile de fond politique ainsi que la description
historique et documentaire, passionnante,
de la vie traditionnelle dans l’Asie centrale musulmane
de l’époque ne doivent pas faire oublier les qualités
strictement littéraires de ce riche roman qui,
tout en se tenant parfois aux lisières du conte,
étonne par la modernité de son ton. »

Livres Hebdo

http://www.bleu-autour.com/fiche_livre.php?ids=125&titrepage=Actualite

 

Bien cordialement à vous,

 

Stéphane A. Dudoignon

 

Parution de Nuit, un roman de Tchulpan

J'ai le grand plaisir de vous faire part de la parution de :

 

'Abd al-Hamid Sulaymân, dit Tchulpân

Nuit

roman (1936) traduit de l'ouzbek par Stéphane A. Dudoignon

Saint-Pourçain-sur-Sioule : Bleu autour, décembre 2009, 456 p.

 

 

Résumé :

 

C’est à la faveur de l’implosion de l’URSS qu’a été redécouvert ce chef-d’œuvre des littératures d’Asie centrale, dont Stéphane A. Dudoignon, chercheur au CNRS, donne ici la première traduction dans une langue occidentale.

Par le truchement d’une fiction à re­bon­­dissements, bâtie sur une intrigue de ha­rem, l’auteur, ‘Abd al-Hamid Su­laymân, dit Tchul­pân (vers 1897-1938), l’une des figures du mouvement moderniste musulman d'Asie Centrale, dresse un tableau cinématographique du Turkestan en proie à la colonisation russe à la veille de la soviétisation.

À sa parution en 1936, ce grand roman populaire est perçu comme une critique virulente du stalinisme. Accusé de « nationalisme bourgeois », Tchulpân sera rapidement arrêté, déporté dans un camp du goulag, condamné à la peine capitale pour « activités contre-révolutionnaires » et exécuté.

« Cette toile de fond politique ainsi que la description
historique et documentaire, passionnante,
de la vie traditionnelle dans l’Asie centrale musulmane
de l’époque ne doivent pas faire oublier les qualités
strictement littéraires de ce riche roman qui,
tout en se tenant parfois aux lisières du conte,
étonne par la modernité de son ton. »

Livres Hebdo

http://www.bleu-autour.com/fiche_livre.php?ids=125&titrepage=Actualite

 

Bien cordialement à vous,

 

Stéphane A. Dudoignon

 

Rebiya Kadeer rencontre le public dans les locaux d'Amnesty international

Rebiya Kadeer rencontre le public dans les locaux d'Amnesty International : http://www.amnesty.fr/index.php/amnesty/s_informer/actualites/rebiya_kadeer

du 5 au 13 décembre 2009, Amnesty International France met en place le MARATHON des LETTRES , série d’événements pour célébrer la Déclaration universelle des droits de l’homme, occasion de faire connaitre son travail en faveur des personnes et sensibiliser sur l’état des droits humains dans le monde.



A cette occasion, Amnesty International a le plaisir d'inviter Mme Rebiya Kadeer à venir témoigner.

Venez la rencontrer le 10 décembre 2009 à 19h30
au Secrétariat National d'Amnesty International
72 Bd de la Villette, 75019 Paris
M° Belleville ou Colonel Fabien

Vous pourrez également dialoguer avec elle et entendre son témoignage lors d’un chat vidéo qui aura lieu le 9 décembre à 19h

 

 

 

 CHINE - REBIYA KADEER : Inlassable défenseure de l’identité et des droits des Ouighours

Rebiya Kadeer

© Amnesty International

Femme d’affaires ouïghoure Rebiya Kadeer, un temps célébrée par les autorités chinoises pour son succès dans les affaires, a toujours tenté d’user de son influence pour améliorer la condition des Ouïghours, notamment des femmes et des enfants.

En 1997 elle créée une association de femmes, le " Mouvement des mille mères ", qui défend les droits des minorités ethniques en Chine.

Les Ouïghours sont un groupe ethnique de langue turque, héritier d’une longue tradition ; installés au cœur de l’Asie centrale, le Xinjiang.
Ce sont en majorité des musulmans sunnites.

 Des émeutes ont éclaté à Urumqi (capitale régionale) en juillet 2009, qui auraient fait au moins 140 morts et des centaines de blessés.
Ces émeutes s’inscrivent dans un contexte général de répressions continues contre les Ouighours depuis les années 80 et dans la seconde moitié des années 1990 : les Ouïghours font l’objet de campagnes répressives par les autorités les accusant des «trois maux» : «terrorisme, séparatisme et extrémisme religieux ».

 

Rebyia Kadeer accueillie par des amis et proches lors de son arrivée à l'aéroport aux Etats-Unis

© AI

L’engagement de Rebiya Kadeer lui vaut harcèlement, arrestation et exil.
Arrêtée en août 1999 pour avoir tenté de rencontrer une délégation du Congrès des États-Unis, elle est accusée et condamnée à 8 ans de prison pour avoir « divulgué des secrets d’Etat ».

Amnesty International la considérait comme une prisonnière d’opinion et a mené campagne pour sa libération. Le harcèlement de sa famille s’intensifie après sa libération en mars 2005 et son départ en exil aux États-Unis.

A son arrivée, Rebiya Kadeer a fondé une association pour promouvoir et défendre les droits humains des femmes et des enfants ouighours, International Uyghur Human Rights and Democracy Foundation.
En mai 2006, elle a été élue Présidente de l’Uyghur American Association ainsi que Présidente du Congrès Mondial Ouighour.


Aujourd’hui, deux de ses fils, Alim et Ablikim Abdiriyim sont emprisonnés, condamnés à des lourdes peines, très vraisemblablement en représailles des activités de leur mère.
Amnesty International les considère comme des prisonniers d’opinion et mène campagne pour leur libération.

 

 EN SAVOIR PLUS

 

CHINE : La libération de Rebiya Kadeer est bienvenue, mais le moment choisi n’est pas dénué d’arrière-pensées
Communiqué de presse du 17/3/2005  - Index AI : ASA 17/010/2005

CHINE : Des associés et des membres de la famille de Rebiya Kadeer harcelés ou arrêtés
Déclaration publique du 8 septembre 2005  - Index AI : ASA 17/030/2005


CHINE : Amnesty International demande la libération immédiate de la femme d'affaires Rebiya Kadeer et des autres prisonniers d'opinion ouïghours
Communiqué du 8 août 2002 - index AI : ASA 17/035/2002


CHINE : Rebiya Kadeer, femme d'affaires ouïghoure, est condamneé á huit années d'emprisonnement á l'issue d'un procés secret
10 mars 2000 - index AI : ASA 17/010/2000


CHINE  : Une militante en faveur des droits des femmes prisonniére d'opinion
document du 2 février 2000 - index AI : ASA 17/004/2000

Nos pages spéciales sur les droits humains en Chine

Nos pages spéciales sur les Défenseurs des droits humains

Nos pages spéciales sur les "Personnes en danger"

Les Rencontres d'Asie Centrale accueillent Rebiya Kadeer, la célèbre dissidente ouïgoure

Les prochaines Rencontres d'Asie Centrale auront lieu samedi 12 décembre, de 14h00 à 15h30.
 
Celles-ci revêtent un caractère exceptionnel puisque nous accueillerons Rebiya Kadeer, la célèbre dissidente ouïgoure exilée aux Etats-Unis.
 
Avec nous également, Ekber Yusuf, président de SOS Ouïgours.

Lieu : au premier étage du Zango bar, 15 rue du Cygne - 75001 Paris. Métro Chatelet les Halles ou Etienne Marcel.
 
Merci seulement de me confirmer votre présence aussitôt que possible : [email protected]
 
Evénement organisé conjointement par la Maison d'Asie Centrale et SOS Ouïgours.

Du ciel à la steppe - Espace infini

Turkménistan - livre de photos

Turkménistan Jean-Baptiste Jeangène Vilmer ISBN 978-2-35270-068-5 30 € Cette dictature d’Asie centrale est l’un des pays les plus fermés du monde — l’un des pires, avec la Corée du Nord, en terme de liberté de la presse. Il est donc particulièrement méconnu. Les rares informations qui s’en échappent donnent lieu dans les médias occidentaux à des portraits souvent caricaturaux qui ne retiennent que le culte de la personnalité du Turkmenbachi et les formidables réserves de gaz dont il dispose. Pour la première fois, ce livre présente ce pays complexe, entre tradition et modernité, dans tous ses aspects : sa géographie et son histoire, sa politique et son économie, sa population et sa culture. Des mouvements d’opposition au blocage des sites internet, du zemzem, ce lézard du désert, aux öwlats, les tribus sacrées, du contenu des programmes télévisés à la cérémonie de mariage, des violences conjugales à l’internement psychiatrique forcé, du travail des enfants à la rentrée universitaire 2009, du grand jeu des gazoducs au développement surveillé du tourisme, du système agricole aux prénoms des enfants, de la fusillade de septembre 2008 au trafic de drogue, des superstitutions quotidiennes à l’alphabet, du théâtre au nomadisme en passant par la cuisine, un lac artificiel géant au milieu du désert ou la réécriture de l’histoire officielle, ce livre offre une présentation complète, claire et synthétique de la société turkmène contemporaine, avec de nombreuses informations récentes et inédites, et plus de 280 photographies couleur. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, 30 ans, philosophe et juriste, est rattaché au Centre de recherches politiques Raymond Aron de l’EHESS. Auteur de plusieurs ouvrages, dont Sade moraliste (Droz, 2005), La Religion de Sade (L’Atelier, 2008), Ethique animale (PUF, 2008), Réparer l’irréparable (PUF, 2009), il a été chargé de cours à l’Université de Montréal, chercheur au MacMillan Center for International and Area Studies de Yale University et au Amsterdam Center for International Law de l’Universiteit van Amsterdam. Il a vécu plus de 250 jours au Turkménistan entre 2007 et 2009, attaché à l’Ambassade de France. Cet ouvrage est son premier livre de photographies. 240 pages, novembre 2009. Plus d'informations : http://www.editionsnonlieu.fr/Turkmenistan

Musique des steppes à la Cité de la Musique

Ensemble Tengir-Too, groupe Kirghize, à la Cité de la Musique le 27 novembre à 20h00 !

http://www.citedelamu  sique.fr/francais/evenement.aspx?id=10051

A ne pas manquer non plus, le forum Asie centrale qui suivra sur la musique des nomades et des sédentaires en Asie centrale. Quand ? Le samedi 28 novembre à 15h00 : http://www.citedelamusique.fr/francais/evenement.aspx?id=10053

Kazakhstan, naissance d'une nation

Kazakhstan, naissance d'une nation
Un film de Christian Barani et Guillaume Reynard. 65 min - 2008

Une production Atopic
Avec la participation d'ARTE France et le soutien du CNC et de la
Procirep-Angoa


"L'autre écran"
Jeudi 26 novembre à 20 heures
Salle Jean Dame - 17, rue Léopold Bellan - 75 002 Paris
M° Sentier ou Les Halles

Chamanisme et inconscients. Rencontres en Sibérie et en Mongolie

Conférence dans le cadre de la SOCIÉTÉ DES ÉTUDES EURO-ASIATIQUES
le 10 décembre 2009
À 18h 30

Salle de cinéma
au Musée du Quai Branly,
http://www.quaibranly.fr/fr/musee/venir-au-musee/musee-pratique-acces.html

Après la  précédente conférence:
Chamans Originels et Chamans Modernes
Voici la suite:

CHAMANISME ET INCONSCIENTS.
RENCONTRES EN SIBÉRIE ET EN MONGOLIE

par YVES BENOIT

Un parcours initiatique commencé en Sibérie
 et qui aboutit en Mongolie.
Le chamanisme c’est aussi l’Homme au centre d’un réseau subtil
 entre Nature,  Inconscient et Mythes.

Les sciences de la Psyché ne sont-elles pas en train d’explorer les mêmes univers
que ceux où le chaman évolue ?


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Accompagné par la projection de deux courts témoignages vidéos
de transes chamaniques en Mongolie en des lieux très reculés ;

Jeunes artistes iraniens

Asie Centrale : le muet prend la parole

Asie Centrale : le muet prend la parole à Nantes

Trois films muets des années 30 d’Ouzbékistan et du Tadjikistan, dont la projection sera accompagnée sur scène par trois musiciens traditionnels d’Asie centrale. Trois soirées exceptionnelles en ciné-concert au Grand T, au Théâtre Universitaire et au Théâtre Graslin.
Programmation : Cloé Drieu, spécialiste du cinéma ouzbek des années 20 et 30. Coordination : Guillaume Mainguet.
En collaboration avec l’INA.

Avant l'aurore

L’Émigrant de Kamil YARMTOV (Tadjikistan, 1934, 51’) - Jeudi 26 novembre à 20h30 / Le Grand T (Billetterie en vente au Grand T – Passage Pommeraye)
Avant l’aurore de S. KHOJAEV (Ouzbékistan, 1934, 54’) – Samedi 28 novembre à 20h30 / Théâtre Universitaire
La Fiancée de l’ishan d’Oleg FRELIKH (Ouzbékistan, 1931, 46’) - Lundi 30 novembre à 19h30 / Théâtre Graslin – Ciné-concert suivant le palmarès de la Compétition 2009.

Invités présents : Cloé Drieu (spécialiste du cinéma muet d'Asie centrale), Hamid Khezri (musicien), Shavkat Matyakubov (musicien), Iqbol Zavkibekov (musicien)

Toutes les informations sont ici : http://www.3continents.com/le_festival/festival/programmation-2009/asie-centrale.html

Contes du chemin de fer - Hamid Ismaïlov

	Contes du chemin de fer Par Hamid Ismaïlov La vie a bien changé à Guilas, paisible bourgade d’Ouzbékistan, depuis que le train s’y arrête : les tribus d’Asie centrale, les voyageurs de toutes origines, et bientôt les populations déportées par le régime communiste y côtoient les autochtones, forcés de s’habituer à leurs nouvelles conditions de vie. Pendant la seconde guerre mondiale, période sur laquelle s’ouvre cette étonnante polyphonie, le cœur de la petite ville bat à l’auberge de la gare : les bras cassés qui sont restés à l’arrière – Oumareli l’Usurier, réformé pour avoir pris seize kilos pendant son séjour en prison, Tolib le Boucher, si maigre qu’on lui confie le ravitaillement du village, et Koutchar la Tchéka, le représentant de la police politique qui n’a qu’une bonne oreille pour faire son travail de mouchard – y égrènent ragots et anecdotes. Exilés, adultères, orphelins, profiteurs, aventuriers et mendiants de tous poils défilent en une chronique débridée, véritable plongée ethnographique dans un microcosme où l’arrivée du train n’a pas été le seul traumatisme. Le matérialisme historique a en effet pulvérisé la vieille tradition soufie et les habitudes culturelles profondément ancrées d’un islam traditionnel : désormais, il faut choisir entre bigamie et déportation, transformer les postes de fonctionnaires en charges héréditaires, bref, les petits arrangements avec le communisme sont la matrice de multiples histoires, tragiques ou grotesques, qui s’enchaînent comme autant de motifs dans le tapis. Car ce sont bien le charme et la singularité de ce livre exubérant, construit à la manière des contes des Mille et une Nuits, que de faire émerger de la juxtaposition des histoires un univers singulier, et d’inviter son lecteur à un éblouissant voyage au pays des contes et légendes d’une Asie centrale méconnue. Hamid Ismaïlov est né en Asie centrale en 1954. Il a quitté l’Ouzbékistan en 1994 pour s’installer finalement à Londres, où il dirige à la BBC le service Asie centrale et Caucase, après avoir vécu en Russie, en France et en Allemagne. Il écrit à la fois dans sa langue natale, l’ouzbek, et en russe. Contes du chemin de fer est son premier livre traduit en français. En librairie le 1er octobre 2009 ISBN : 978-2-84805-076-8 prix : 23 euros – 272 pages (code Sodis : 711003-8) Date de parution : Octobre 2009
(C) swediteur.com 2007

Nuit - Tchulpân

	Nuit       Tchulpân       Collection "d'un lieu l'autre"       Préface de Stéphane A. Dudoignon       Traduit de l'ouzbek par Stéphane A. Dudoignon       14 x 22 cm       464 pages       Dos carré collé       parution : Novembre 2009       EAN : 9782358480079       prix indicatif : 23.00 €       Ouvrage publié avec le concours du Centre national du livre et du Conseil régional d'Auvergne       Disponible le 20 novembre 2009
	Résumé   C’est à la faveur de l’implosion de l’URSS qu’a été redécouvert ce chef-d’œuvre des littératures d’Asie centrale,dont Stéphane A. Dudoignon, chercheur au cnrs, donne ici la première traduction dans une langue occidentale. Par le truchement d’une fiction à re­bon­­dissements, bâtie sur une intrigue de ha­rem, l’auteur, ‘Abd al-Hamid Su­laymân, dit Tchul­pân (vers 1897-1938), l’une des figures du mouvement moderniste musulman, dresse un tableau cinématographique du Turkestan en proie à la colonisation russe à la veille de la soviétisation. À sa parution en 1936, ce grand roman populaire est perçu comme une critique virulente du stalinisme.Accusé de « nationalisme bourgeois », Tchulpân sera rapidement arrêté, déporté dans un camp du goulag, condamné à la peine capitale pour « activités contre-révolutionnaires » et exécuté. « Cette toile de fond politique ainsi que la description historique et documentaire, passionnante, de la vie traditionnelle dans l’Asie centrale musulmane de l’époque ne doivent pas faire oublier les qualités strictement littéraires de ce riche roman qui, tout en se tenant parfois aux lisières du conte, étonne par la modernité de son ton. » Livres Hebdo           Bleu autour Imprimer Fermer

 

Pakistan : païens et talibans

http://www.rsr.ch/la-1ere/un-dromadaire-sur-l-epaule

A ne pas rater cette semaine, sur RSR.

Pakistan: païens et talibans

Une petite fille kalash. [gaël métroz]

Le journaliste Gaël Métroz nous emmène sur la frontière pakistano-afghane.

Le réalisateur est parti toute une année, pour tourner le documentaire "Kalash", dans cette province du nord-ouest.

Vieux barbus souriants, derniers rites païens, bazars étouffés par la neige, bergers éternels de l’Himalaya, talibans, et, tout dessous les cultes et le froid, toujours les mêmes hommes.

• Le Pakistan sur Wikipédia
• Site du Gouvernement pakistanais
• Carte du Pakistan
• Le blog de Gaël Métroz
• Pour voir les photos de ce reportage et de ce tournage

lundi 09 novembre 2009

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Pakistan: païens et talibans 1/5

Zones tribales. [gaël métroz]

Chitral, la ville hors du monde

À la frontière avec l’Afghanistan, à la lisière des zones tribales grouillantes de talibans, le district de Chitral vit en autarcie. Durant tout l’hiver, les cols sont bloqués par la neige. Ce printemps, ils sont encore restés fermés pour empêcher les talibans d’entrer.

• Chitral sur Wikipédia
• Chitral sur Google map
  
  

Invitée

Pauline Garaude, journaliste spécialiste de l'Asie du Sud, en direct de Paris.

• Pauline Garaude sur Bibliomonde

mardi 10 novembre 2009

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Pakistan: païens et talibans 2/5

Futur berger kalash. [gaël métroz]

Kalash, les derniers infidèles

S’ils possédaient jadis de vastes territoires, les animistes Kalashs ne sont aujourd’hui plus que 3'000 âmes à survivre à la frontière pakistano-afghane. Malgré une vie rude et la pression des musulmans alentour, leur bonheur reste contagieux.

• Pour en savoir plus sur les Kalashs

 

Invité

Jean-Yves Loude, écrivain et ethnologue.

Avec sa compagne Viviane Lièvre, également ethnologue, ils ont vécu avec les Kalash pendant deux années au cours de nombreux séjours effectués de 1978 à 1990, et consacré leurs travaux à ce peuple. Leurs recherches se sont déroulées dans le cadre de missions soutenues par la Sous-Direction des Sciences sociales et humaines du Ministère des Affaires Etrangères.

• Site de Jean-Yves Loude et Viviane Lièvre
• Solstice païen, fête d'hiver chez les Kalash, sur le site des Editions Findakly
• Tanuk le maudit, sur le site des Editions Belin
• Clara au pays des mots perdus, sur le site des Editions Tertium

mercredi 11 novembre 2009

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Pakistan: païens et talibans 3/5

Festival de printemps. [gaël métroz]

Festival du printemps

Au festival du printemps, les jeunes Kalashs se courtisent, se rencontrent secrètement et, en rentrant au petit matin dans la famille du garçon, ils sont considérés comme mariés.

Invité

Hervé Nègre, photographe et reporter. Il a effectué un travail ethnologique chez les Kalashs.

• Site d'Hervé Nègre

jeudi 12 novembre 2009

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Pakistan: païens et talibans 4/5

Pâturages kalashs. [gaël métroz]

Le royaume des fées

Pour les Kalashs, l’Himalaya est la propriété des fées. Si on les dérange durant l’hiver alors qu’elles ripolinent les glaciers, elles nous reçoivent à coups d’avalanches. Mais après le festival du printemps, elles accueillent les bergers six mois durant.

Invitée

Mariam Abou Zahab, politologue. 

Elle enseigne à l'Institut d'études politiques à Paris, ainsi qu'à l'Institut national des langues et civilisations orientales. Elle est chercheuse au Centre d'études et de recherches internationales à Paris.

Elle est l'auteure, avec Olivier Roy, de Réseaux islamiques: La connexion afghano-pakistanaise, paru aux Editions Autrement en 2002.

• Le livre sur le site des Editions Autrement

vendredi 13 novembre 2009

CONSULTEZ LE PROGRAMME MUSICAL   

Pakistan: païens et talibans 5/5

Chitralis. [gaël métroz]

Kalashs, musulmans et chrétiens

Alors que la pression talibane est plus effrayante que jamais dans le district de Chitral, à Islamabad, la communauté chrétienne se recueille dans une messe… en urdu.

• Les talibans sur Wikipédia
• Islamabad sur Google map
• CAMAT, Chitral Association for Mountain Area Tourism

 

Invitée

Pauline Garaude, journaliste spécialiste de l'Asie du Sud, en direct de Kaboul.

• Pauline Garaude sur Bibliomonde

Les républiques ex soviétiques d'Asie centrale : du moule soviétique à l'invention d'un autre modèle de société

Invités A écouter sur le site de France culture : http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/place-des-peuples/ Invités Patrick Dombrowsky.  professeur de relations internationales, directeur du Centre européen de recherches sur l'Asie médiane (Ceram) Stéphane Dudoignon.  attaché de recherche au CNRS et professeur associé à l'Université d'Amsterdam

les livres Stéphane Dudoignon Voyage au pays des Baloutches : Iran oriental, an XXVIII (XXIe siècle) de la République islamique Cartouche. Collection Voyage au pays des... - 17 février 2009 Illustrations de Alexandre Gueivandov Le voyageur auquel il prendrait la fantaisie de se rendre au Baloutchistan d'Iran aura soin de décliner les offres d'éventuels chaperons de l'escorter une kalachnikov sous le bras, n'empruntera pas les routes seul, de nuit, à bord d'un rutilant 4 x 4 et ne s'intéressera aux affaires religieuses régionales qu'avec circonspection. D'une façon générale, il se fera discret pour visiter cette zone à la pointe sud-est de l'Iran, aux frontières du Pakistan et de l'Afghanistan. Là, au carrefour délaissé des mondes persan, arabe, indien et africain, l'auteur a voyagé de déserts en palmeraies, de mosquées de style Bollywood en villes sans architecture, a tenté d'échapper à la sollicitude des sectes d'imitateurs du Prophète et a côtoyé les adorateurs de l'Esprit des Eaux... - 4e de couverture - Patrick Dombrowsky Géopolitique du nouvel Afghanistan Ellipses - 2005 Structuré en État unitaire dès 1747, l'Afghanistan n'a cessé, durant toute son histoire, de voir son unité remise en cause. Lorsqu'à la suite des attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis sont intervenus sur son territoire, un peu plus de vingt ans après les Soviétiques, pour y chasser le régime des taleban, l'Afghanistan est entré dans une ère nouvelle. Aujourd'hui, malgré de réels progrès politiques, le pays reste à réunifier et reconstruire. Malgré l'action d'éléments armés occidentaux, les menaces ne sont pas effacées et les forces de l'islam radical peuvent se reconstituer à tout moment à partir des zones frontières avec le Pakistan. Ainsi donc, sans l'appui militaire et politique de l'Occident, ce nouvel Afghanistan âgé de cinq ans peut-il marcher seul ? La nouvelle donne efface-t-elle les lignes de fractures géographiques et identitaires profondes du vieux pays ? - 4ème de couverture - Patrick Dombrowsky, Catherine Poujol, Vincent Fourniau, Marlène Laruelle Asie centrale PUF - 2004 Islam et mondialisation en Asie centrale. Une trajectoire entre islam local et islam global (C. Pujol) ; L'Asie centrale et la mondialisation : économie, philosophie politique et Islam (V. Fourniau) ; Mondialisation et alter-mondialisme dans les réflexions des milieux politiques et intellectuels d'Asie centrale (M. Laruelle).

Cours de kirghize au premier trimestre 2010

S'inscrire auprès de l'Inalco en auditeur libre. Les cours sont donnés par Rémi Dor, professeur.

Enseignement : deux heures par semaine.

Cours d'ouzbek au dernier trimestre 2009

S'inscrire auprès de l'Inalco en auditeur libre. Les cours sont donnés par Rémi Dor, professeur.

Enseignement : deux heures par semaine.

Se dépêcher les cours ont déjà commencé.

Cours de Yakoute à l'Inalco en décembre

COURS DE LANGUE IAKOUTE 2009-2010
САХАЛЫЫ САҤАРЫАХ !
Au centre INALCO de Clichy (104 Quai de Clichy, M° Mairie de Clichy)
Mardi 1er décembre (17h00-18h30) & Jeudi 3 décembre (17h30-19h00)
Mardi 8 décembre (17h00-18h30) & Jeudi 10 décembre (17h30-19h00)
Mardi 15 décembre (17h00-18h30) & Jeudi 17 décembre (17h30-19h00)
Examens oral et écrit : le vendredi 18 ou samedi 19 (à convenir)
Enseignante : Émilie Maj,
Spécialiste de la culture iakoute
anthropologue au Centre for Landscape and Culture (Université de Tallinn).
Ce cours s’inscrit dans le cadre d’une initiation aux langues sibériennes depuis 2007, en parallèle avec
un enseignement de l’évenk proposé par Alexandra Lavrillier et les cours de tchouktche dispensés par
Virginie Vaté.
Le cours présente une initiation au iakoute (ou sakha), parlé par le peuple turc homonyme en Sibérie.
Cette langue, qui s’écrit en cyrillique, est l’une des plus anciennes de la branche turque. Elle contient
en outre de nombreux élément provenant du mongol ainsi que des langues toungouse et russe.
Après une introduction à l’histoire de la langue, les cours seront consacrés à l’apprentissage de bases
du iakoute. Les cours seront partagés entre le grammaire et la pratique ; les étudiants auront des
exercices à préparer d’un cours à l’autre.
NB : Le nombre d’heures étant limité cette année, il est préférable (mais pas rédhibitoire) d’avoir une
pratique du cyrillique.
Ecrire à Emilie Maj fin novembre ([email protected]) pour connaître le numéro de la salle.

Les mystères de Kyys la chamane

Samedi 31 octobre de 21h40 à 22h30 sur Arte
Documentaire (Civilisations)
Les mystères de Kyys la chamane
Réalisateur : Marc Jampolsky



En juillet 2006, en Iakoutie, à l'extrémité de la Sibérie orientale, une expédition archéologique découvre, enfouie dans la terre gelée, une sépulture ancienne au contenu exceptionnel : une femme allongée dans un cercueil de bois, entourée d'offrandes. Pour Eric Crubezy, anthropologue et spécialiste des ...

Nomades du Kirghizstan

Samedi 31 octobre de 20h00 à 20h45 sur Arte
Magazine de découvertes
360°, GEO
Thèmes de l'émission : Nomades du Kirghizstan

Un documentaire franco-allemand réalisé par Wolfgang Mertin en 2009. Une transhumance avec une famille de bergers kirghizes et ses troupeaux.

Sur les traces de Djamila

 

La Galerie Photo-Originale présente :
 Agnès Senéjoux
"Sur les traces de Djamilia"
une parenthèse Kirghize
Exposition du 6 au 21 novembre 2009
Vernissage le vendredi 6 novembre de 18h à 21h

Agnès Senéjoux arpente depuis plus de quinze ans les routes de l'Asie.
Tout au long de ces années, son itinéraire photographique s'est inscrit tout naturellement dans la tradition des photographes ethnologues du siècle dernier tel que Pierre Verger.
Pour elle comme pour cet illustre prédécesseur, l'appareil photographique n'est que le moyen qui permet de rentrer en contact, d'échanger, de partager avec les peuples rencontrés.
Il n'y a dans ses images aucun artifice ni mise en scène, ce sont des photographies qui nous regardent droit dans les yeux, le cœur ouvert et la main tendue.
Ce travail n'a pas vocation à dénoncer, mais à montrer, raconter et aimer.
C'est la première fois qu'Agnès Senéjoux expose ces travaux.
Il aurait été peut-être plus simple qu'elle présente aujourd'hui un florilège de ses meilleures images, mais ces prises de vues réalisées lors d'un voyage au Kirghizistan au mois de juillet 2009 résume parfaitement ses quinze dernières années de voyage et nous ramènent à l'une des vertus premières de cette pratique documentaire de la photographie et de l'enfance... la candeur.
Galerie Photo-Originale
24 rue Molière 75001 Paris
  01 42 57 25 26   
Du lundi au vendredi de 11h à 19h
le samedi de 14h à 18h
Métro : Palais-Royal / Pyramides
[email protected]
Plus d'infos sur l'exposition : www.photo-originale.com

Shadi de Maryam Khahipour

Le Centre national du Théâtre organise dans le cadre du Mois du Film Documentaire deux projections, dont celle d'un film de Maryam Khakipour "Shadi".
Cette projection qui sera suivie d'une rencontre avec la réalisatrice aura lieu le lundi 23 novembre à 19h45 au Cinéma des Cinéastes, 7 avenue de Clichy, 75017 Paris. L'entrée est libre.

Une troupe comique de Téhéran, chassée de son théâtre, se retrouve à la rue. Émue par le destin des « ouvriers de joie » la metteur en scène Ariane Mnouchkine les invite au Théâtre du Soleil. Shadi se bat pour que son mari lui signe une « autorisation de sortie ». À Paris, la rencontre avec Ariane Mnouchkine inquiète le metteur en scène de la troupe...

En savoir plus : http://www.cnt.asso.fr/actu.php?id=76

Central Asia and Caucasus Studies in the UK: Focusing on Communities, Societies and States

Central Asia and Caucasus Studies in the UK: Focusing on Communities, Societies and States
University of St Andrews
November 6-7, 2009
Parliament Hall, South Street
Friday, November 6

9-9.30 am: Registration and coffee

9.30-9.45 - Opening remarks (Dr Sally N. Cummings, Founding Director of the Institute of Middle East, Central Asian and Caucasus Studies at the University of St Andrews)

9.45-11am - Panel 1: LOCALITY AND AUTHORITY
Panel chair:  Mohira Suyarkulova
Discussant:  Dr Stephanie Bunn (U of St Andrews)
 * Otambek Mastibekov (SOAS): The leadership and authority of Ismailis: a case study of the Badakhshani Ismaili community in Tajikistan
 * Elmira Satybaldieva (U of Kent): Aksakals and their implications for State domination in Kyrgyzstan: a qualitative study of local politics
 * Rebecca Reynolds (U of Glasgow): Homebuilding, homemaking and consumption of domestic space in rural Kyrgyzstan
 * Yves-Marie Davenel (EHESS, Paris): Cultural renaissance and civic integration in post-Soviet Kazakhstan: a case study on the Tatar minority

11-11.30 am coffee and tea break

11.30-12.30 Panel 2: MORALITY, LAW AND SOCIAL ORDER
Panel chair:  Teemu Naarajarvi
Discussant:  Dr Johan Rasanayagam (U of Aberdeen)
 * Liam O'Shea (U of St Andrews): Crime, deviance and social order in Kyrgyzstan
 * Ieva Raubisko (U of Oxford): 'Our joy is gone': narratives of loss in the transient counter-terrorism zone of Chechnya
 * Meri Avetisyan (Armenian State Pedagogical University): Attitudes towards money, moral and law consciousness of post-Soviet people in Armenia

12.30-1.30 pm - LUNCH

1.30- 2.45 pm - Panel 3: IDENTITY, VIOLENCE AND POPULAR MOBILISATION
Panel chair: Jeanne Féaux de la Croix
Discussant:  Dr John Schoeberlein (Harvard University)
 * Nurseit Niyazbekov (St Anthony's College, U of Oxford): Preventing democratisation in Kazakhstan: changes in popular mobilisation
 * Ahmed Fawaz (U of St Andrews): Abkhazia: ethnic entrepreneurs and politicising identity
 * Nino Kemoklidze (U of Birmingham): Identity construction and ethno-national violence in Georgia
 * Richard Berge (UCL): Identity and state in the Caucasus: the way forward in IR

2.45-3.15 pm coffee and tea break

3.15-4.30 pm - Panel 4: PROFESSIONAL COMMUNITIES
Panel chair:  Dr Wojtek Ostrowski
Discussant: Dr Sally Cummings (U of St Andrews)
 * Kanykey Jailobaeva (U of Edinburgh): The professionalization of NGOs: A new stage of NGO development in Kyrgyzstan?
 * Saltanat Janenova (U of Edinburgh): Public Service integration in Kazakhstan: Challenging the traditional bureaucracy
 * Katarzyna Czerniecka (SOAS): Security implications of EU's discourse and practical engagement in Central Asia

4.30-6pm - Keynote address by Dr Johan Rasanayagam (University of Aberdeen)
Authenticity and tradition: secular and non-secular discourses in Uzbekistan

Saturday, November 7

10-11 am - Uses of a PhD outside of academia by John Schoeberlein
(Harvard University)

John Schoeberlein will discuss the career paths followed outside of
academia by those who have advanced training in Central Asian studies --
including those who choose to combine applied work outside of academia
with an academic career.  His own experience includes work in
international organizations and in international NGOs.  The talk will
address the variety of options (ranging from government and the
private sector to NGOs and multi-lateral institutions), some of the
considerations that should determine one's choice, and how to address
some of the challenges in seeking such a path.

11-11.30am - coffee and tea break

11.30-12.30 - Using your expert knowledge in journalism by Shahida Tulyaganova

12.30-1.30pm - LUNCH

1.30-3pm - Understanding Academic Publishing by Peter Sowden (freelance editor)

Peter Sowden works as a freelance commissioning editor, commissioning
for Routledge books in Asian Studies, including Central Asia, on the
former Soviet bloc, including the Caucasus, and the Middle East.  He
also commissions some books in modern history for Boydell and Brewer,
and has done ad hoc projects for the Publishers Association, ALPSP
(the Association of Learned and Professional Society Publishers) and
other publishers.  He was Publisher and Publishing Director of
Routledge 1987-99 and before that commissioning editor at Croom Helm 1977-87.

During this session Mr Sowden will talk about academic publishing in
the fields of Central Asian and Caucasus studies in general as well as
have a practical discussion of draft book proposals prepared by
participants of the workshop in advance.

3-3.30 pm - coffee and tea break

3.30-5pm - PG community of students of CA&C: what are the ways
forward? Planning session (opening remarks by Mohira Suyarkulova,
moderated by Jeanne Féaux de la Croix)

5pm -Closing remarks (Jeanne Féaux de la Croix and Mohira Suyarkulova)


Location:

Parliament Hall page:
http://www.st-andrews.ac.uk/visiting/Virtualtours/ParliamentHall/

Parliament Hall is under number 67 in the alphabetical index
(coordinates - J3) on the University map:
http://www.st-andrews.ac.uk/media/wwwmap.pdf

Les migrations dans l'espace post-soviétique

56 rue Jacob 75006 Paris -

Tél. +33(0)1 58 71 70 00 - Fax +33(0)1 58 71 70 90

E-mail : [email protected] - Web : www.ceri-sciences-po.org

9h30 - 13h00

Nouveaux flux, nouvelles mobilités : un espace en mutation

P

RÉSIDENCE : Anne de Tinguy, INALCO et CERI-Sciences Po

Géographie des migrants d'Ouzbékistan : les territoires de la mobilité

Julien Thorez, CNRS-Mondes iranien et indien

La question du genre dans les migrations du sud Kirghizstan

Madeleine Reeves, Université de Manchester

Global crisis and labour migration: the case of Tajikistan

Saodat Olimova, Centre de recherche Shark, Douchanbé, Tadjikistan

Migration, genre et mobilités dans les pays de la CEI : l'exemple de l'ex-intelligentsia

à Tachkent

Stéphanie Belouin, doctorante, Université de Poitiers-Migrinter

Evolution de la situation migratoire en Ukraine : enquête sur les migrations de

main-d’oeuvre

Oleksii Pozniak, Institut de Démographie et d’Etudes sociales, Kiev

D

ISCUTANTE : Anne Le Huérou, Université du Havre et CERCEC-EHESS

14h30 - 18h30

Enjeux et répercussions

P

RÉSIDENCE : Chantal Saint-Blancat, Université de Padoue, chercheur invité au CERI

Le retour de l’influence russe ou la fin de ‘l’étranger proche’ ?

Anne de Tinguy, INALCO et CERI-Sciences Po

Les enjeux des migrations de travail dans le partenariat oriental. Le cas de la Moldavie

Florent Parmentier, Centre d’Etudes Européennes-Sciences Po

Les émigrés sud-caucasiens en Russie au regard de leur pays d'origine : des 'nouvelles

diaporas' dans l'espace post-soviétique ?

Adeline Braux, doctorante, CERI-Sciences Po

Politiques diasporiques et flux migratoires en Asie centrale : les Etats-nations et leurs

minorités de l'étranger

Olivier Ferrando, doctorant, CERI-Sciences Po

Le rapport de la FIDH sur les travailleurs migrants et les demandeurs d’asile au Kazakhstan

et au Kirghizstan

Amandine Regamey, Université Paris I Sorbonne et CERCEC-EHESS

D

ISCUTANTE : Catherine Poujol, INALCO

Les migrations dans l’espace post-soviétique

vingt ans après la chute du mur de Berlin :

ruptures et continuités

Entrée libre

dans la limite

des places

disponibles.

Pas de réservation

Responsables

scientifiques :

detinguy@

ceri-sciences-po.org

olivier.ferrando@

sciences-po.org

Organisation :

ballereau@

ceri-sciences-po.org

Contact :

michel@

ceri-sciences-po.org

Col loque

dans le cadre du

Projet transversal

Migrations et relations internationales

Vendredi 6 novembre 2009

9h30 - 18h30

56, rue Jacob - 75006 Paris

Salle de conférences

Prochaines Rencontres d'Asie Centrale

Chères amies, chers amis,

Les prochaines Rencontres d'Asie Centrale auront lieu dimanche 25 octobre 2009 de 12h30 à 16:00 au restaurant Boukhara Amelot.

Au programme :

- 12:30 - 13:30 : signature de mon livre " Les recettes d'Asie Centrale " et rencontres apéritives informelles

- 13:30 - 16:00 : déjeuner sur le thème "shashlik party" :-) (pour ceux qui n'aiment pas les shashliks, un déjeuner normal est possible)

Un grand merci à Andreï et Saidjon qui nous accueillent exceptionnellement le dimanche midi dans leur restaurant et nous proposent un menu à tarif préférentiel à 12 euros (kir compris offert).

Merci de me préciser, dans la mesure du possible, si vous pensez rester pour le déjeuner, à l'adresse suivante : [email protected].

Je vous rappelle l'adresse : Boukhara Amelot - 53 rue Amelot - 75011 Paris - Métro Bastille, Chemin Vert, Saint-Sabin... Tel : +33 1 43 38 88 40 

Je vous attends nombreux !

A très bientôt,

Sylvie

Chamanes, Tsaatanes et lac Khövsgöl, en Mongolie par Lætitia Merli

Chamanes, Tsaatanes et lac Khövsgöl, en Mongolie par Lætitia Merli Le jeudi 5 novembre 2009 à 20 heures 30

Spiritualité centrée sur la médiation entre les êtres humains et les esprits de la surnature, le chamanisme, qui recoupe tant les pratiques ancestrales des Toungouses que celles de citadins européens, prend sa source dans les sociétés traditionnelles sibériennes. Cette médiation a une fonction économique au sein de la communauté : elle permet à ses membres de faire face aux aléas de l’existence par un échange avec les esprits, lors de la transe. Religion, magie, savoir-faire procédant d’une disposition individuelle, pratique culturelle ou simple thérapie, la nature du chamanisme est complexe. Il implique en tout cas une représentation dualiste de la personne et du monde. L’être humain se compose de deux entités, son corps et son âme invisible qui survit à la mort. Par ailleurs, deux mondes coexistent : l’un est visible, quotidien, profane, et l’autre, appelé « monde-autre » ou « surnature » est celui des dieux, des esprits, des ancêtres et des morts. Désignés et élus par ce dernier lors de la survenance d’une « maladie initiatique », les chamanes peuvent communiquer avec lui de façon privilégiée : ils disposent de la capacité de le voir et de le connaître, alors que les autres hommes ne font que le pressentir et le subir. En premier lieu émerge un chamanisme de chasse dont le but est de prévoir le déplacement du gibier. Le chamane épouse la fille d’un esprit donneur de gibier qui lui fournira l’aide des esprits auxiliaires. Cette coopération suppose une contrepartie venant des chasseurs : leur esprit est dévoré et ce phénomène entraîne maladies et mort. Le rôle crucial du chamane est donc de retarder la survenance de cette contrepartie. Cette forme de spiritualité a peu à peu évolué en chamanisme d’élevage selon lequel la survie de la communauté ne dépend plus de l’esprit des animaux, mais de ceux des ancêtres. Ces deux formes ont en commun le rôle central du chamane et impliquent une personnalisation importante des cérémonies qui n’obéissent pas à une liturgie particulière. Le tambour est néanmoins l’instrument indispensable de tout chamane puisqu’il est un support et un lieu de rassemblement pour les esprits. L’institution chamanique a très vite largement dépassé la région sibérienne. On observe des pratiques analogues chez de nombreux peuples, à commencer par les Mongols, qui seraient tous originaires de Sibérie, mais aussi au Népal, en Chine, au Japon, en Corée, chez les Indiens d’Amérique du Nord, en Afrique, chez les Aborigènes d’Australie et les Amérindiens d’Amérique latine. Depuis plusieurs années, on assiste à l’émergence d’un néochamanisme en Occident, dans le sillage des mouvements du New Age, avec la publication en 1965 de L’Herbe du diable et la petite fumée de Carlos Castaneda. Le chamanisme sibérien et le néochamanisme comportent de nombreuses différences, à commencer par l’environnement naturel, sans parler de l’aspect souvent commercial et des pratiques que les Occidentaux ont adaptées pour en faire une méthode de développement personnel. Le chamanisme séduit par son absence de dogme. Ce nouvel essor se vérifie également en Orient, notamment en Mongolie. En effet, depuis la chute du bloc soviétique et la fin de son idéologie fortement athéiste, les Mongols redécouvrent avec enthousiasme leurs croyances et leurs traditions et profitent du nouvel engouement pour le chamanisme dans le monde.

L’anthropologue Lætitia Merli, qui étudie le néochamanisme mongol et sibérien, a longuement séjourné sur les rives du lac Khövsgöl, au nord de la Mongolie. Dans la taïga à l’ouest de ce lac nomadisent encore quelques dizaines de familles d’éleveurs de rennes, les Tsaatanes. Cette population, qui relève de l’ethnie turcophone des Touvines, doit la préservation de son identité culturelle à l’isolement des campements et à leur autosuffisance fondée sur la domestication du renne. Les migrations et les campements saisonniers où l’habitat est constitué d’urts – l’équivalent des tipis amérindiens – ne varient pas d’une année sur l’autre. Quelque quarante familles vivent avec 800 rennes dans la taïga. En hiver, le troupeau trouve sous la neige les lichens dont il se nourrit. Au printemps, les familles descendent : c’est le temps des pousses d’herbe précoce et de la mise bas. En juillet, à la saison des pluies, fuyant mouches et moustiques, les Tsaatanes regagnent l’alpage où les mousses abondent pour leur cheptel. En automne, ils quittent les pâturages pour redescendre dans la forêt riche en lichens et en champignons : c’est la période du rut. Reconnue par les Mongols, mais aussi consultée par les Occidentaux qui, depuis l’ouverture du pays au tourisme à partir de la fin des années 1990, sont fascinés par les Tsaatanes, la chamane Enkhetuya délaisse la forêt pour s’installer l’été sur la rive du lac, où son campement familial est accessible en voiture. Témoin de ce nouveau mode de vie selon lequel les transhumances se font désormais en partie en fonction de l’affluence touristique, Lætitia Merli montre l’impact croissant du tourisme sur ces populations traditionnelles. Elles adaptent en effet leur mode de vie aux demandes des agences de voyages et à cette manne économique. Les rencontres avec les visiteurs sont minutées, la prise de photos est monnayée et les rituels initiatiques deviennent des attractions. Le documentaire Shaman Tour (FAG Prod/Les Ateliers du doc/CNRS Images, 2009) met en évidence la contradiction qui existe entre la préservation d’une culture qui rend ces peuples attirants et leur volonté d’émancipation et de développement économique. En savoir plus : http://transboreal.fr/conferences.php?refconf=239

Journée ouïgoure le 21 octobre 209 à Paris

 

Description

Une journée ouïghoure va être organisée par les étudiants en master Sociologie et Anthropologie de l'Université Denis-Didérot le mercredi 21 Octobre 2009. Très peu connue dans les universités française, la culture ouïghoure sera présentée aux étudiants (ou non) avec quelques projections de films, de débat, démonstration de la danse traditionnelle et d'initiation de la musique suite à une dégustation de la cuisine ouïghoure.


La journée commencera dès 10h du matin avec deux projections suivis d'un débat. Après une légère dégustation des desserts ouïghours, une autre projection aura lieu. Vers 16h, la danse et la musique tradtionnelle sera présentée par les étudiants ouïghours des autres universités.


Une exposition des oeuvres d'art réalisés par les étudiants ouïghours attendra votre visite d'abord pendant une semaine au campus de Javelo dans la rue de Tolbiac, ensuite elle prend relais pendant quelques semaines au campus de Grand Moulin.

 

 

L'heure: 10h-18h
Date: Mercredi 21 Octobre 2009
Lieu: Bâtiment Montréal


107 Rue Tolbiac 75013


(Métro 14 Terminus: Vous pouvez également prendre la rue Naionale de la sortie et continuer cette rue, première à droite, montez l'escalier)
Ouvert à public, entrée libre

 

Au Programme:

10H:00 "On a Tightrope", Petr Lom, 2007 Canada
11H:30 "ATA", Cagla Zencirci & Guillaume Giovanetti, 2008, France
12H:00: Débat
13H:00 Dégustation
14H30: "Le Torrent qui porta le chant aux Ouïgours", Mylène Sauloy, 1999, France
16H:00 Démonstration de la danse et musique

Musique persane soufie d'Iran - 6 novembre à Paris

J'ai pas tué Saddam ! Guillaume Bordier

Guillaume Bordier, réal.
Editeur :	Guillaume Bordier [prod.,distrib.], 2005
Description :	1 vidéo numérisée (52 min)
Sujet :	Afghanistan - Moeurs et coutumes
Cote notice :	39(55)
	Réalisateur du magnifique film "l'Empreinte", Guillaume Bordier, deux ans auparavant, en avait réalisé un précédent : "J'ai pas tué Saddam!". Dans ce film, l'action se passe déjà en Afghanistan, dans une auberge traditionnelle aux confins d'un village isolé du Hazaradjat, à la croisée de plusieurs pistes ou routes cachées sous la neige abondante de l'hiver.Dans une pièce commune, où ils dorment à même le sol recouvert d'un tapis, les voyageurs : commerçants, soldats, paysans ou trafiquants..font étape. Et en attendant de reprendre leur chemin, échangent les nouvelles des lieux d'où ils sont partis ou qu'ils ont traversés. L'attente d'un véhicule-relais ou d'un temps plus clément peut durer plusieurs jours, aussi la vie est-elle rythmée par les prières, les jeux de société, les conversations qui dénotent la rudesse des moeurs masculines locales, et bien sûr, le sommeil..Discret, le réalisateur filme le temps qui passe dans la pièce avec ces hommes qui parfois se figent pour un portrait, mais le plus souvent, oublient la caméra. Il filme aussi le cadre grandiose des montagnes enneigées qui entourent le groupe de maisons du hameau, et les maisons blotties les unes contre les autres, comme formant un ancien caravansérail.L'image du film est superbe. Mais l'hiver, les journées en Afghanistan sont courtes, si bien que les scènes nocturnes, dans le noir complet, ou avec l'éclairage de lampes à huile récalcitrantes, sollicitent l'écoute attentive du spectateur, de toute façon déjà conquis par ce film donnant, comme "l'Empreinte", une approche rare de la vie quotidienne afghane, à trois jours de voyage, en hiver, de Kaboul. Version originale en dari afghan, variante du persan, sous-titrée en français

Les films ne peuvent pas être consultés en ligne : ce document peut être consulté dans les espaces de la Bpi de la bibliothèque du Centre Pompidou

L'empreinte, de Guillaume Bordier - Afghanistan

Guillaume Bordier, réal.
Editeur :	Guillaume Bordier [prod., distrib.], 2007
Description :	1 vidéo numérisée (47 min)
Sujet :	Ethnologie - Afghanistan Afghanistan - Conditions sociales
Cote notice :	39(55)
	A Hérat (Afghanistan), une boulangerie. Ou plutôt un atelier de production du pain local, fonctionnant à une cadence étonnante. Et pourtant, tous les ingrédients de ce qui, en Occident, est appelé la fabrication artisanale, sont là : les céréales sont on ne peut plus naturelles, le pétrissage et le façonnage sont faits à la main, la cuisson au four à bois traditionnel, et l'apprentissage du métier exclusivement auprès des ainés. Mais ne nous y trompons pas : le réalisateur français n'a pas fait des milliers de kilomètres pour venir dans ce pays en guerre, avec l'objectif préétabli de filmer l'art et la manière de fabriquer le pain quelque part en Afghanistan. Même si les images, absolument sublimes, décrivent avec précision le processus, c'est autre chose qui se joue dans le film que le simple enregistrement, talentueux, d'une tradition ethnique. En effet, les boulangers savent qu'ils sont filmés, de surcroît par quelqu'un qu'ils semblent bien connaître et qu'ils apostrophent parfois en cours de tournage. La question de l'image est au coeur du film : celle en train d'être tournée et celle que les filmés s'imaginent produire auprès des futurs spectateurs français. Pourtant, ils ne jouent pas. Le travail qu'ils font est effectif : les impératifs du résultat de la production sont bien là, d'où le rythme effréné, auquel ils sont manifestement habitués. Dans ce lieu fermé, les rituels du quotidien laissent facilement deviner une vie extérieure entièrement soumise au contrôle de la communauté. Ce film superbe est une approche rare de l'Afghanistan d'aujourd'hui. Prix des Jeunes au festival Cinéma du réel 2008 Version originale française avec séquences en dari sous-titrées en français

Les films ne peuvent pas être consultés en ligne : ce document peut être consulté dans les espaces de la Bpi de la bibliothèque du Centre Pompidou

Contes du chemin de fer - Hamid Ismaïlov

Contes du chemin de fer
Par Hamid Ismaïlov

La vie a bien changé à Guilas, paisible bourgade d’Ouzbékistan, depuis que le train s’y arrête : les tribus d’Asie centrale, les voyageurs de toutes origines, et bientôt les populations déportées par le régime communiste y côtoient les autochtones, forcés de s’habituer à leurs nouvelles conditions de vie.
Pendant la seconde guerre mondiale, période sur laquelle s’ouvre cette étonnante polyphonie, le cœur de la petite ville bat à l’auberge de la gare : les bras cassés qui sont restés à l’arrière – Oumareli l’Usurier, réformé pour avoir pris seize kilos pendant son séjour en prison, Tolib le Boucher, si maigre qu’on lui confie le ravitaillement du village, et Koutchar la Tchéka, le représentant de la police politique qui n’a qu’une bonne oreille pour faire son travail de mouchard – y égrènent ragots et anecdotes.
Exilés, adultères, orphelins, profiteurs, aventuriers et mendiants de tous poils défilent en une chronique débridée, véritable plongée ethnographique dans un microcosme où l’arrivée du train n’a pas été le seul traumatisme. Le matérialisme historique a en effet pulvérisé la vieille tradition soufie et les habitudes culturelles profondément ancrées d’un islam traditionnel : désormais, il faut choisir entre bigamie et déportation, transformer les postes de fonctionnaires en charges héréditaires, bref, les petits arrangements avec le communisme sont la matrice de multiples histoires, tragiques ou grotesques, qui s’enchaînent comme autant de motifs dans le tapis. Car ce sont bien le charme et la singularité de ce livre exubérant, construit à la manière des contes des Mille et une Nuits, que de faire émerger de la juxtaposition des histoires un univers singulier, et d’inviter son lecteur à un éblouissant voyage au pays des contes et légendes d’une Asie centrale méconnue.
Hamid Ismaïlov est né en Asie centrale en 1954. Il a quitté l’Ouzbékistan en 1994 pour s’installer finalement à Londres, où il dirige à la BBC le service Asie centrale et Caucase, après avoir vécu en Russie, en France et en Allemagne. Il écrit à la fois dans sa langue natale, l’ouzbek, et en russe. Contes du chemin de fer est son premier livre traduit en français.

En librairie le 1er octobre 2009
ISBN : 978-2-84805-076-8
prix : 23 euros – 272 pages
(code Sodis : 711003-8)

Date de parution : Octobre 2009

Ouverture site www.culture-timouride.com

Bonjour,

Je vous confirme l'ouverture du site www.culture-timouride.com, prototype de musée virtuel de la culture timouride à partir des objets conservés au musée Amir Temur de Shahrisabz. D'autres parties vont être ouvertes (l'Ak Saray demain en fin de journée), puis normalement plus tard la vie quotidienne (guerres, religion, animaux, aliments -ça me rappelle votre livre ^^-, etc...) ainsi qu'architecture.

Pour ce qui est du musée, nous travaillons (Association "Sciences et Patrimoine culturel" + laboratoire IRAMAT de l'Université de Bordeaux 3 et du CNRS) en collaboration avec la section Musées et Objets Culturels de l'Unesco Paris à réaliser un petit musée virtuel de la culture timouride en nous basant sur les pièces conservées au Musée Amir Temur de Shahrisabz. Les pièces viennent principalement des ruines du palais de l'Ak Saray voisin et se composent principalement de carreaux céramique glaçurée (dite aussi faïence, les gens comprennent mieux le terme ainsi...) qui sont ma spécialité (labo de physique appliquée à l'histoire de l'art et l'archéo, nous pouvons donner une composition d'objet, donner des infos sur la manière dont il a été fabriqué, parfois des idées d'origine, ou sources, techniques, etc. Les experts version archéo quoi ^^).

Je ne sais pas si vous avez vu les pavements de céramique au pied de l'ak saray quand vous y êtes allée mais ils font partie d'un projet mené en parallèle, qui vise à les restaurer car il s'agit du seul pavement timouride existant de nos jours, in situ qui plus est et de 600 m2 (oui c'est énorme mais ridicule en comparaison de ce que devait être le palais). En mission, en même temps que l'inventaire au musée nous avons fait leur étude avec un architecte (le bâtiment penche, a subit des tremblements de terre et s'il venait à bouger a nouveau ce serait bien sur problématique pour les pavements et les humains bien entendu !), un restaurateur (directeur de la Socra qui a restauré la galerie des glaces) et un spécialiste des mortiers (il n'y en a plus ou presque la bas et les mortiers ouzbeks sont... et bien comme tout ce qui concerne la restauration... à revoir !). Nous présentons donc les objets du musée et parlons de l'Ak Saray puisque les carreaux de l'un ont fourni les pièces à l'autre. Nous allons traiter l'architecture et la céramique principalement ainsi qu'effleurer un peu tous les autres domaines même s'il y a assez peu d'objets qui y sont liés au musée.

Bonne soirée


Céline Ollagnier

Festival premiers pas au Théâtre du Soleil (Paris)

le festival Permiers Pas qui a lieu au Théâtre du Soleil de la Cartoucherie, avec 2 compagnies Afghanes.

Le programme ici : http://www.premiers-pas.fr

Le Kirghizstan : peuple et montagnes

Bonjour,
 
L'AKFA est heureuse de vous inviter, en tant que partenaire, a une Conference du Ciron, consacree aux Kirghiz et au Kirghizstan, organisee par le Comite de jumelages et d'animations de Pujols sur Ciron (Gironde).
 
Le Kirghizstan :
peuple et montagnes
(avec petit film, diaporama et musique)
Conference presentee par
M. Rene Cagnat,
officier superieur en retraite, habitant en Kirghizstan,
specialiste des pays et peuples de l’Asie Centrale.
Vendredi 23 octobre 2009 a 19 h
Espace Coillot a l’ile de Pujols sur Ciron.
Une exposition avec projection d’images des paysages est
organisee conjointement et sera accessible aux ecoles locales.
Musique populaire Kirghiz interpretee par Gric de Prat.
Pour en savoir plus :
 
http://www.vallee-du-ciron.com/Documents/Nouvelles/DocumentsLies/257h.pdf
 
Pour toute demande d'information complementaire :
[email protected]
 
Bien cordialement,
 
David GAUZERE
Vice-President AKFA
www.akfa-asso.org

Prochaines Rencontres d'Asie Centrale

Chères amies, chers amis,

Ces prochaines rencontres auront lieu vendredi 16 octobre à 19h00 à la Maison d'Europe et d'Orient. Elles seront formelles et voici le thème :

Que se passe-t-il en pays ouïgour ? Rencontres à Paris vendredi 16 octobre

J'espère avoir le plaisir de vous y retrouver

Voyage musical sur la Route de la Soie - La Louvière

- La taverne du théâtre, place communale de la Louvière, dimanche 4 Octobre à 15h00 : Voyage musical sur la route de la soie.

Plus d'information sur le site de notes vagabondes

Voyage musical sur la Route de la Soie

- Les Sabots d'hélène à Thieusies, dimanche 4 Octobre à  19h30 : Voyage musical sur la route de la soie.

Plus d'informations sur le site de notes vagabondes.