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Une excellente manière de soutenir la Maison d'Europe et d'Orient et de participer à ses activités : |
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Pôle culturel européen |
Bonjour, Dans le cadre de la 2ème édition de la Fête de la Nature et des Hommes qui se déroulera toute la journée du dimanche 20 mai au Parc Naturel des Hautes Bruyères, 110 avenue de la République à Villejuif, j'aurai le plaisir de vous accueillir dans le village de yourtes à 14h30 pour une conférence-diaporama sur la vie des éleveurs de Mongolie et tout au long de la journée la diffusion de petits films sur la vie des steppes et des villes, des échanges et des discussions.... Venez nombreux ! A bientôt Catherine Lantenois
Albert-Kahn, musée et jardins
10-14, rue du Port 92100 Boulogne-Billancourt
Standard : 01 55 19 28 00 Fax 01 46 03 86 59
Du 29 novembre 2011 au 16 septembre 2012, le Conseil général des Hauts-de-Seine présente l’exposition « La Mongolie, entre deux ères. 1912-1913 » au musée Albert-Kahn à Boulogne-Billancourt. Celle-ci révèle la Mongolie du début du XXème siècle mis en valeur par l’un des fleurons du patrimoine du département des Hauts-de-Seine : les collections d’images conservées au musée Albert-Kahn. Rendez-vous au cœur des steppes, parmi les cavaliers, au milieu des yourtes et des temples bouddhistes pour une évocation haute en couleur et riche d’enseignements sur un monde aujourd’hui disparu.
Au total sont présentés :
72 autochromes (premier procédé industriel de photographie en couleurs véritables) provenant du fonds Albert-Kahn
1 film muet noir et blanc provenant du fonds Albert-Kahn, 1 film noir et blanc provenant des archives Pathé-Gaumont
11 objets archéologiques prêtés par le musée national des arts asiatiques-Guimet
38 reproductions de documents anciens conservés dans des fonds patrimoniaux français et mongols.
500 m2 d’exposition
Eclairage sur l’exposition
Son nom suffit à évoquer l’Ailleurs, le voyage, l’immensité des steppes, les galops des cavaliers nomades, les yourtes… La nouvelle exposition du musée Albert-Kahn plonge le visiteur dans l’univers menacé de la Mongolie du début du 20e siècle.
Si le mode de vie nomade est toujours d’actualité aujourd’hui, bon nombre des autres réalités captées par l’objectif de Stéphane Passet en 1912 et 1913 seront vite balayées par la marche de l’Histoire. Dans cette région dominée par les deux géants que sont la Chine et la Russie, les révolutions sont en marche et bientôt la face du monde sera changée.
À travers 72 photographies, 2 films d’époque et 38 documents d’archives, c’est une Mongolie à la fois proche et lointaine qui s’expose, illustrant la mission fondamentale assignée par Albert Kahn aux opérateurs chargés de constituer les Archives de la Planète : « fixer une fois pour toute des aspects, des pratiques et des modes de l’activité humaine dont la disparition fatale n’est plus qu’une question de temps ». Et, en Mongolie plus qu’ailleurs, le temps était compté.
Pour cette exposition, le Conseil général propose une application iPhone introduisant l’exposition et présentant quelques autochromes, ainsi qu’un audioguide et un parcours-jeupapier pour les enfants. En complément, les visiteurs peuvent accéder dans le musée à un panorama numérique du fonds Mongolie dans les Archives de la Planète.
Les grands axes de l’exposition
La Mongolie entre deux ères présente un aperçu de l’histoire mongole et du contexte politique du voyage de l’opérateur dans la Mongolie au début du XXe siècle.
Les missions européennes en Mongolie, une longue histoire : de nombreux voyageurs explorèrent les routes de la soie, du moyen-âge à nos jours. Sont mis en avant : du 13e au 19esiècle, les voyages dans l’empire mongol, en 1909 : la mission d’Henry Bouillane de Lacoste « Au pays sacré des anciens Turcs et des Mongols », en 1912-1913 : le voyage de M. Passet, en 1931-1932 : « l’épopée de la Croisière Jaune » et une mission d’aujourd’hui : la mission archéologique française en Mongolie
La société mongole du début du XXe siècle : description de la société mongole, de sa vie quotidienne et de ses traditions vestimentaires spectaculaires notamment à travers les aspects de la vie nomade, le vêtement comme marqueur social d’une société extrêmement codifiée et un peuple de cavaliers dont on dit encore aujourd’hui qu’ils vivent, naissent et meurent à cheval…
Ourga, 1913 : suite à la chute, en 1911, du « dernier empereur » de la dynastie des Qing, l’ancienne province mandchoue de Mongolie-Extérieure proclame son indépendance. C’est son chef religieux, un grand maître tibétain de l’école bouddhiste des Gelugpa, qui devient le chef de l’État. Son lieu de résidence : Ourga, devient la capitale. Cette section permet de découvrir les transformations de la ville, du campement à celle-ci et l’importance de ce lieu en tant que centre de pèlerinages et capitale spirituelle et temporelle
Une zone sous influences : en 1912-1913, les deux Mongolie sont « entre deux ères » : pour la Mongolie-Intérieure, l’ère mandchoue s’achève et laisse place à l’ère chinoise. La Mongolie indépendante, elle, prend la Russie pour modèle jusqu’à devenir, en 1924, une République populaire. Les convictions anticléricales et les ambitions en termes de rénovation urbaine de ce nouveau régime conduiront à la destruction de la grande majorité des monuments présentés dans l’exposition.
La Maison d'Europe et d'Orient présente
Vendredi 1er avril 2011 – 19h
vernissage de l’exposition
« La Route de la Soie – Dialogue interrompu »
Photographies d’Igor Levin
Rendre compte des différences de modes de vie et de cultures entre la région du Turkestan oriental (Chine), le Kirghizstan et le Tibet occidental (Chine), en parcourant l’antique Route de la Soie depuis la ville de Kashgar, est le projet qu’Igor Levin, photographe de presse originaire du Kirghizstan, nous propose à travers son exposition. Cette piste secondaire constituait un axe de liaison important vers la principale Route de la Soie (Xian en Chine, Istanbul en Europe) depuis Lahore (Inde) et les royaumes de Gugé et Shanshung (Tibet occidental). Les photographies présentées à la Maison d’Europe et d’Orient suivent cette piste. Le voyage épique d’Igor Levin commence à Karakol (Kirghizstan), où Nikolaï Prjevalski, le grand explorateur russe du Tibet et de l’Asie centrale trouva la mort en 1888. Le photographe nous emmène ensuite à Torugart et dans la région du Turkestan oriental, puis à travers les montagnes interdites d’Aksay (territoire contrôlé par la Chine et réclamé par l’Inde). Il poursuit en passant par l’autoroute du Karakorum, la plus haute du monde, pour nous mener finalement à Ngari (Tibet occidental) et vers l’espace sacré du mont Kailash.
EXPOSITION VISIBLE JUSQU’AU 25 AVRIL 2011
Entrée libre. Du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 19h.
La galerie étant régulièrement utilisée pour diverses activités, il est conseillé, après le vernissage, de nous contacter
avant votre venue : 01 40 24 00 55
Contact presse : Sandra Diasio - [email protected] - 01 40 24 00 55
Centre culturel pour l'Europe de l'Est et l'Asie centrale
(Librairie / Galerie / Studio – Bibliothèque Christiane Montécot
EURODRAM-Réseau européen de traduction théâtrale
Editions l'Espace d'un instant – Théâtre national de Syldavie)
3, passage Hennel (accès par le 105, avenue Daumesnil) - 75012 Paris - tel + 33 1 40 24 00 55
du 31 janvier 2011 au 11 février 2011
Vernissage le 1er février à 18h00 Entrée libre
EXPOSITIONS
Pakistan – Terre de rencontre – Ier- VIème siècles - Les arts du Gandhara
Du 21 avril au 16 août 2010
Commissaire : Pierre Cambon, Conservateur en Chef au musée Guimet.
Exposition organisée par le musée des arts asiatiques Guimet à Paris et le Centre National des Arts et d’Expositions de la République fédérale d’Allemagne à Bonn.
Avec le soutien de Terre Entière, voyagiste culturel
En partenariat média avec Evene.fr, Paris Match, Arts Programme, BeauxArts magazine, Paris Première, France culture.
Le Gandhara est un ancien royaume d’influence hellénistique, recouvrant les provinces du Nord-Ouest de l’actuel Pakistan. Il voit se développer une civilisation brillante mêlant les influences grecques, fruits des conquêtes d’Alexandre le Grand, aux inspirations perses et indiennes. Dans cette exposition, vous pourrez admirer 200 œuvres gréco-bouddhiques exceptionnelles et caractéristiques du Gandhara En savoir plus...
Photo : Bodhisattva pensif, Pakistan, Gandhara, Sanghao, Schiste, 200 x 24 x 10.5 cm, Lahore Museum, N° G-143 © Droits réservés.
INFORMATIONS PRATIQUES
Musée Guimet - 6, place d’Iéna 75116 Paris
Ouvert tous les jours sauf le mardi, de 10h à 18h
www.guimet.fr
Nous contacter
Nous suivre sur Twitter : http://twitter.com/MuseeGuimet
La galerie parisienne le Toit du Monde nous informe :
Le dernier numéro de TRIBAL ART de l’hiver 2009 met à l’honneur l’Himalaya dans deux articles.
Celui sur
La nébuleuse himalayenne
de Bérénice Geoffroy-Schneiter à travers deux expositions :
Au pays du Dragon – Arts sacrés du Bhoutan
au musée Guimet à Paris
et
Masques de l’Himalaya
à la Fondation Bernard et Caroline de Watteville à Martigny (Suisse)
conseille à l’amateur la visite de ces deux expositions s’il veut appréhender un panorama aussi juste qu’éclectique de ces civilisations perchées sur le « Toit du Monde »,
tant la confrontation de ces esthétiques et de ces vecteurs de sacré s’avère stimulant.
Le second article, de Françoise Pommaret
Les masques du Bhoutan objets, significations et valeurs
fait une synthèse de nos connaissances actuelles sur les cérémonies masquées de ce pays.
Le Musée international du Carnaval et du Masque de Binche (Belgique) dans le cadre de son exposition
Carnet de voyage – En quête d’impressions
sur la Chine présente quelques masques tibétains, puisque le Tibet en fait actuellement parti, à côté de masques et marionnettes chinois.
Conjointement à l’exposition des Masques de l’Himalaya de Martigny, le 5 février sera inaugurée l’exposition sur les
MASQUES DES VALLEES SUISSES
où seront présentés des masques provenant de différentes collections et musées dont ceux de Bâle et de Kippel dans la vallée du Lötschental.
Un catalogue sera édité à cette occasion.
Ce début d’année est riche en évènements liés à l’art de l’Himalaya.
Le musée de la Castre, au Suquet à Cannes rouvre sa salle himalayenne entièrement rénovée.
C’est probablement l’ensemble le plus complet, le plus cohérent d’objets chamaniques et de masques que l’on puisse trouver actuellement exposé en Europe.
Et à Gruyères, en Suisse, la fondation Alain Bordier a ouvert un remarquable musée, le TIBET MUSEUM, qui brille, lui, par ses bronzes et ses thankas d’une magnifique qualité et d’une grande ancienneté. Les publications et études des pièces du musée sont faites par Ulrich et Heidi von Schroeder.
Un livre écrit par Amy Heller est en cours de publication
Hidden Treasures of the Himalayas, Tibetan manuscripts, paintings and sculpture of Dolpo
sur l’histoire culturelle du Dolpo, analysée à partir des documents historiques et des enluminures d’une bibliothèque de plusieurs centaines de manuscrits tibétains de la fin du XIe au XVIe siècle conservés dans un temple villageois.
Site officiel de La Maison d'Asie Centrale, association régie par la loi de 1901 à vocation culturelle. Nous n'avons pas de toit, juste un site internet et de nombreux amis et partenaires qui nous prêtent leurs locaux pour accueillir les événements que nous organisons. Nous tenons à notre nomadisme. Présidente : Sylvie Lasserre.
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