DOMBRA DU KAZAKHSTAN : L’HERITAGE DE TÄTTIMBET
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> Dans le cadre de la sortie du disque « Dombra du Kazakhstan : l’héritage de Tättimbet » chez Buda musique, Talasbek Asemkulov sera à Paris pour plusieurs événements.
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> Dimanche 9 mai 2010 de 14h30 à 17h30 :
> Concert promenade au Musée de la musique
> 221, avenue Jean Jaurès 75020 PARIS
> Métro : Porte de Pantin
> Tarif : Entrée du musée
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> Mardi 11 mai 2010 à 20h30 :
> Concert au Centre Mandapa
> 6 rue Wurtz 75013 PARIS
> Métro : Glacière
> Réservation au : 01 45 89 01 60
> Tarif : 15 euros (réd. 11 et 7,5 euros)
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> Jeudi 13 mai 2010 à 17h :
> Rencontre musicale au Salon de lecture Jacques Kerchache
> Musée du quai Branly
> 222 rue de l'Université
> 75343 Paris Cedex 07
> Métro : Alma-Marceau / Pont de l’Alma
> Tarif : Gratuit
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> La musique kazakhe a connu au XIXe siècle l’essor d’une tradition instrumentale virtuose pour le luth à deux cordes dombra. Les canons des deux grands styles de jeu, shertpe et tokpe, furent définis durant ce siècle qui est considéré comme un âge d’or pour la musique du Kazakhstan. La tradition instrumentale a évolué autour d’une unique forme dénommée kuï, signifiant mélodie ou état, qui est une pièce durant entre une et cinq minutes et explorant une seule image musicale. Le motif du kuï se présente dans une perfection déjà atteinte qui ne nécessite pas de développement. L’instant se prolonge pour devenir éternité. Chaque kuï est accompagné d’une légende, anyz en kazakh, qui narre le moment de sa composition et son thème. Ces légendes peuvent être une ode à la nature ou à une femme, un épisode vécu, un événement historique ou légendaire. La musique ouvre ainsi à la fois sur la vie du compositeur et sur
> l’histoire de la steppe. Les kuï retranscrivent le mode de vie nomade et l’amour pour sa terre. Talasbek Asemkulov (né en 1955 dans la région de Semipalatinsk) est aujourd’hui le principal connaisseur et musicien du style shertpe et transmet l’héritage du compositeur Tättimbet (1817-1860) qui est au fondement de ce style. Il fut initié à cet art par son grand-père et continua son apprentissage auprès d’autres fameux dombristes. Son éducation musicale suivit ainsi la voie traditionnelle orale, baignée dans la transmission de l’univers musical et spirituel des Kazakhs
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> Dans le cadre de la sortie du disque « Dombra du Kazakhstan : l’héritage de Tättimbet » chez Buda musique, Talasbek Asemkulov sera à Paris pour plusieurs événements.
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> Dimanche 9 mai 2010 de 14h30 à 17h30 :
> Concert promenade au Musée de la musique
> 221, avenue Jean Jaurès 75020 PARIS
> Métro : Porte de Pantin
> Tarif : Entrée du musée
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> Mardi 11 mai 2010 à 20h30 :
> Concert au Centre Mandapa
> 6 rue Wurtz 75013 PARIS
> Métro : Glacière
> Réservation au : 01 45 89 01 60
> Tarif : 15 euros (réd. 11 et 7,5 euros)
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> Jeudi 13 mai 2010 à 17h :
> Rencontre musicale au Salon de lecture Jacques Kerchache
> Musée du quai Branly
> 222 rue de l'Université
> 75343 Paris Cedex 07
> Métro : Alma-Marceau / Pont de l’Alma
> Tarif : Gratuit
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> La musique kazakhe a connu au XIXe siècle l’essor d’une tradition instrumentale virtuose pour le luth à deux cordes dombra. Les canons des deux grands styles de jeu, shertpe et tokpe, furent définis durant ce siècle qui est considéré comme un âge d’or pour la musique du Kazakhstan. La tradition instrumentale a évolué autour d’une unique forme dénommée kuï, signifiant mélodie ou état, qui est une pièce durant entre une et cinq minutes et explorant une seule image musicale. Le motif du kuï se présente dans une perfection déjà atteinte qui ne nécessite pas de développement. L’instant se prolonge pour devenir éternité. Chaque kuï est accompagné d’une légende, anyz en kazakh, qui narre le moment de sa composition et son thème. Ces légendes peuvent être une ode à la nature ou à une femme, un épisode vécu, un événement historique ou légendaire. La musique ouvre ainsi à la fois sur la vie du compositeur et sur
> l’histoire de la steppe. Les kuï retranscrivent le mode de vie nomade et l’amour pour sa terre. Talasbek Asemkulov (né en 1955 dans la région de Semipalatinsk) est aujourd’hui le principal connaisseur et musicien du style shertpe et transmet l’héritage du compositeur Tättimbet (1817-1860) qui est au fondement de ce style. Il fut initié à cet art par son grand-père et continua son apprentissage auprès d’autres fameux dombristes. Son éducation musicale suivit ainsi la voie traditionnelle orale, baignée dans la transmission de l’univers musical et spirituel des Kazakhs
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